Création de société offshore Dubai
Présentation
La société à Dubaï se trouve dans une juridiction située hors d’Europe et Fait partie des Emirats Arabes Unis, EAU. Son classement dans les économies les plus libres du monde est 35 ème. Son indice de Liberté fiscale est de 99.9.
Taxation de la société |
Elles ne payent aucun impôt, ni sur les bénéfices, ni sur les dividendes, ni sur les plus values, ni TVA. |
Elles ne payent qu’une licence annuelle fixe selon leur statut. |
Usage de la société |
Activités de commerce international, import export |
Prestation de service, conseils |
Création de holding |
Les différents types de sociétés
Offshore | Pas de capital | 1 minimum |
Zone Franche FZE | Capital de 10.000 à 1.000.000 USD selon la zone franche | 1 |
Zone Franche FZC | Capital de 10.000 à 1.000.000 USD selon la zone franche | 2 à 5 |
Comment créer une société offshore à dubai
- Une entité basée aux E.A.U, dispose d’un choix de régimes légaux vaste, de l’entreprise résidente à l’entreprise non résidente, en passant par une quarantaine de régimes de free zones, qui ont chacun leurs exigences.
- Dans les faits, une adresse à Dubaï est possible, même si la société est constituée selon les règles d’une autre Free Zone, la plupart de celles qui sont réellement avantageuses étant dans des émirats moins connus.
- Les directeurs et les associés peuvent être de partout, les registres du commerce ne sont pas publics (un registre par législation spécifique).
- Le siège social doit se situer sur le territoire des E.A.U.
- En général, pas de capital social à verser à la constitution (même si les banques locales demandent un dépôt minimal).
- Ouverture de compte en banque multi-devises avec Internet banking.
- Aucune comptabilité à déposer, mais elle doit être tenue.
Pourquoi créer une société à Dubai
Une société en zone franche n’est pas tout à fait à ranger dans la catégorie des sociétés offshore, même si sa fiscalité est douce. En effet, le terme recouvre davantage que la seule absence d’impôts.
Aux Emirats arabes, seul celui de Ras el Khaimah propose ce type de sociétés offshore. Ailleurs, une substance minimale, matérialisée par l’obligation de maintenir un bureau, même partagé dans la zône franche, et l’obtention possible de permis de résidence valables dans l’ensemble des émirats arabes est requise.
Cela indique clairement que l’émirat entend certes se positionner comme un endroit attractif pour les entrepreneurs, et entend attirer les investissements. La fiscalité et les impôts réduits voire nuls sont, comme c’est aussi le cas pour certains cantons suisses, des incitants puissants à l’ouverture d’une société sur place.
Dubaï offre plusieurs avantages majeurs. En premier lieu, son image n’est pas celle d’un paradis fiscal, mais celle d’un centre financier et commercial de premier plan. Cette image est ensuite renforcée par un réseau dense de conventions fiscales, aux conditions favorables, conclues avec l’ensemble des juridictions occidentales.
Les Etats se livrant une compétition pour attirer les capitaux des émirats arabes, ils leur proposent des conditions attractives pour leur investissement, dont bénéficient en retour l’ensemble des entités qui y sont établies. Enfin, les Emirats sont la dernière juridiction qui ne soit pas officiellement un paradis fiscal à garantir la confidentialité des informations : pas de registre public des actionnaires et des dirigeants, pas de publication des comptes, même si une comptabilité doit être tenue.
De plus, il n’existe pas un seul registre, mais un par législation, soit entre les free zones, les entités résidentes et les régimes offshore, plus d’une cinquantaine de registres différents, ce qui protège encore davantage les données.
A un moment où l’usage des nominees se complique fortement en dehors des paradis fiscaux évidents, la confidentialité offerte par les Emirats est un atout majeur. La constitution d’une société peut y sembler de prime abord plus onéreuse, mais il faut le mettre en rapport avec le fait qu’il n’est pas utile de recourir à des nominees, ni d’utiliser des services d’administration.
De plus, et c’est un atout essentiel, les entrepreneurs qui établissent une société offshore à Dubaï bénéficient, dans l’immense majorité des cas, d’un permis de résidence valant aussi permis de travail, avec tous les avantages fiscaux qui s’y rattachent, le principal étant l’absence d’impôt sur les personnes physiques. La création de la société est ici simplement une étape permettant de ne plus être redevable de l’IR. Très populaire parmi les sociétés de conseils, ou d’import export, en fait dans toute activité permettant un travail à distance, la solution de créer une société (semi) offshore à Dubaï devient vite un investissement très rentable.
Une fois résident, l’étape d’ouvrir un compte en banque local se franchit aisément, même si les formalités peuvent parfois être plus longues et tâtillones qu’en Europe. Mais c’est la bien peu de choses en comparaison des avantages fiscaux.qu’il est possible d’obtenir.
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